Affichevintage originale un homme et une femme 1er tirage 1966; Partager Partager Tweet Pinterest. Affiche vintage originale un homme et une femme 1er tirage 1966 France. Vendu.
Femmes scientifiques » résonnait comme un doux oxymore aux oreilles d'une communauté de recherche largement dominée par les hommes. Plusieurs d'entre elles ont été boudés par les récompenses ou se sont vu voler leurs découvertes parce qu'elles étaient des femmes. Pendant des siècles, les chercheuses devaient se porter volontaires » pour assister des membres de facultés des sciences, et leurs découvertes majeures ont été attribuées à leurs collègues masculins et leurs noms ont été retirés des protocoles expérimentaux. Il leur fallait bien souvent se battre pour ne serait-ce qu'avoir la reconnaissance accordée naturellement à leurs époux ou confrères » explique Anne Lincoln, sociologue à l'Université méthodiste du Texas, qui a étudié les obstacles opposés aux femmes dans l'histoire des sciences. Selon une étude conduite en 2014, les femmes sont toujours sous-représentées en sciences seul un tiers des chercheurs sont des chercheuses. Pourtant de nombreuses femmes scientifiques ont participé à des découvertes qui ont changé notre monde. À l'occasion de la Journée internationale du droit des femmes, National Geographic rend hommage à sept femmes scientifiques qui ont permis des découvertes majeures sans toujours recevoir le crédit qu'elles méritaient, pour la seule raison qu'elles étaient nées femmes. HENRIETTA LEAVITT Née en 1868 dans le Massachusetts, Henrietta Swan Leavitt est une astronome américaine. En 1893, elle est recrutée à l'Observatoire de l'université d'Harvard pour rejoindre Harvard Computers », un groupe de femmes engagées pour établir un traitement mathématique des données astronomiques ; les femmes n'ayant à l'époque pas le droit d'utiliser des télescopes. Henrietta Leavitt est chargée d'examiner des plaques photographiques prises à différentes périodes afin de mesurer et classifier la luminosité des étoiles. En 1908 et 1912, elle publie les résultats des travaux qu'elle a menés sur les nuages de Magellan, un groupe de galaxies naines. Ses observations lui ont permis de détecter la variation de luminosité périodique de certaines étoiles, les céphéides. Elle établit ainsi le rapport période-luminosité, nommé Loi de Leavitt », qui a permis aux astronomes de développer un système de calcul de distances dans l'univers et ainsi de mesurer la distance entre notre planète et les autres galaxies. Henrietta Leavitt est nommée à la tête du département de photométrie stellaire de l'Observatoire de Harvard en 1921, quelques mois avant sa mort. Gösta Mittag-Leffler, mathématicien suédois, tente de la nommer en 1926 pour le Prix Nobel de physique. Il n'obtient pas gain de cause, cette distinction ne pouvant être attribuée à titre posthume. Mais un astéroïde et un cratère lunaire ont été nommés Leavitt en hommage à l'astronome. GERTRUDE BELL Née en 1868 dans l'Angleterre victorienne, Gertrude Bell est l'une des scientifiques les plus pluridisciplinaires du 20e siècle une des premières femmes diplômées d'Oxford, elle est archéologue, alpiniste, photographe, écrivain et analyste politique britannique. Pendant la Première Guerre mondiale, elle demande à s’engager au Moyen-Orient où, sous les ordres de Winston Churchill, elle travaille à l'instauration des relations arabo-britanniques. Grâce à sa connaissance approfondie de l'Histoire, des peuples et des cultures de la région, elle est missionnée pour dessiner les frontières d'un État-nation sous mandat britannique - l'Irak actuel. Son influence conduit à la création d’un pays à majorité chiite au sud, et à minorités sunnite et kurde au centre et au nord. Seule femme officier chargé d’affaires politiques de l’armée britannique, et confortée par ses recherches archéologiques et anthropologiques, elle lutte activement pour favoriser la compréhension et le respect des peuples orientaux. La reine sans couronne », comme elle était surnommée par les Irakiens, a également dirigé de nombreux chantiers de fouille dont les artefacts mis au jour ont été réunis dans le nouveau Musée archéologique de Bagdad musée national d'Irak. Malade, elle meurt en 1926 d'une overdose de médicaments. Elle a reçu le titre de commandeur de l'ordre de l'Empire ELSIE FRANKLIN Biologiste moléculaire, Rosalind Elsie Franklin est sûrement l'une des scientifiques les plus connues du 20e siècle. Dès 1935, elle décide d'entreprendre des études de physique, projet de carrière ambitieux et courageux pour une femme britannique à l'époque. Elle obtient son doctorat en physique-chimie à l'université de Cambridge en 1945. Elle part ensuite pour Paris afin d'étudier les nouvelles techniques de diffraction des rayons X. De retour au King's College de Londres, elle mène des travaux sur l'analyse de l'acide désoxyribonucléique ADN. En 1953, grâce à son expertise en diffractométrie de rayons X, elle fait plusieurs radiographies de l’ADN, dont la Photo 51 », qui permet la découverte de la structure à hélice. Trois chercheurs obtiennent le prix Nobel de médecine en 1962 pour cette découverte, après avoir eu accès et avoir utilisé les travaux de Rosalind Franklin à son insu et sans la citer. Rosalind Elsie Franklin meurt en 1958, à 37 ans, d'un cancer des ovaires certainement causé par une surexposition aux rayons. Elle est distinguée en 2008 d'un Prix d'honneur Louisa-Gross-Horwitz, haute distinction scientifique décernée par l'université de Columbia. ADA E. YONATH Issue d'une famille ayant fui la Pologne, Ada E. Yonath grandit à Jérusalem auprès de son père rabbin dans les années 1940. Après avoir commencé ses études en biochimie à l'université hébraïque de Jérusalem, elle obtient son Philosophiæ doctor en 1968 à l'Institut Weizmann pour sa recherche en cristallographie. Après un passage par le Massachusetts Institute of Technology MIT, Ada Yonath revient en 1970 à Tel Aviv pour y fonder le premier laboratoire israélien en cristallographie à l'Institut Weizmann. La cristallographie est la science dédiée à l'étude des substances cristallines à l'échelle atomique. En tant que biochimiste moléculaire, Ada Yonath s'est fortement intéressée à la biosynthèse des protéines par l'étude des ribosomes, agents moléculaires à l'origine de cette synthèse. Ses travaux ont été récompensés par le Prix Nobel de chimie en 2009, avec deux co-récipiendaires américains, Thomas Steitz et Venkatraman Ramakrishnan, pour leurs travaux sur l'identification moléculaire du ribosome par cristallographie qui ont permis d'ouvrir de nouvelles perspectives concernant l'élaboration de nouveaux antibiotiques ». Elle est la première femme moyen-orientale à recevoir cette distinction. Elle a également reçu une douzaine d'autres prix internationaux et a été nommée membre de l'Académie pontificale des sciences par le pape François. JOCELYN BELL BURNELL Souvent consacrée comme l’une des plus grandes scientifiques du 20e siècle, Jocelyn Bell Burnell est une astrophysicienne britannique. Elle est principalement reconnue pour avoir découvert le premier pulsar en 1967. Elle intègre l'université de Cambridge pour y effectuer son Philosophiæ doctor, qu'elle obtient en 1969, sous la direction de l'astrophysicien Anthony Hewish. Lors de ses études à Cambridge, elle participe activement à la fabrication d'un radiotélescope dédié à l'étude des quasars. En 1967, c'est lors d'analyses faites à partir de ce radiotélescope que Jocelyn Bell détecte un signal radioastronomique inconnu jusqu'alors. Elle découvre ainsi le tout premier pulsar, un reste d'étoile résultant d'une supernova qui produit un signal périodique. Les pulsars sont la preuve que lorsque les astres explosent, ils ne se diluent pas mais deviennent de minuscules étoiles à neutrons très denses et tournant très rapidement sur elles-mêmes. Cette découverte vaut, en partie, le Prix Nobel de physique à Antony Hewish et Martin Ryle en 1974, qui n'incluent pas Jocelyn Bell. L'astrophysicienne mène encore de grands travaux qui lui valent de nombreuses récompenses, comme le statut de commandeur de l'Ordre de l'Empire Britannique. Elle est aujourd'hui professeure à Oxford et dirige un groupe de travail à la Royal Society d'Édimbourg qui vise à favoriser et encourager l'engagement des femmes dans les domaines scientifiques, d'ingénierie et de mathématiques. FRANÇOISE BARRÉ-SINOUSSI Françoise Barré-Sinoussi est une chercheuse française engagée dans la rétrovirologie depuis le début des années 1970. Après avoir suivi des études de biologie et de biochimie à la faculté des sciences de l'université de Paris, elle intègre l'Institut Pasteur puis l'Institut national de la santé et de la recherche médicale, dont elle devient la directrice de recherche. En 1983, l'équipe du professeur Luc Montagnier, qui dirigeait le service d'oncologie virale de l'Institut Pasteur, reçoit une biopsie ganglionnaire fournie par des confrères de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Cet échantillon fera l'objet d'environ un mois de culture et d'observation par Françoise Barré-Sinoussi et ses collaborateurs. Suite à cette étude, la chercheuse co-publiera un article dans la revue Science exposant la découverte d'un nouveau rétrovirus, ultérieurement appelé VIH-1. Françoise Barré-Sinoussi et Luc Montagnier sont distingués par le Prix Nobel de médecine en 2008 pour cette découverte. La virologue française consacre son entière carrière à la recherche d'un vaccin contre le Virus de l'Immunodéficience Humaine VIH. Elle est également fortement engagée dans la prévention et les actions de santé publique concernant le SIDA et les hépatites virales en Afrique et en Asie. Co-auteure de plus de 270 publications, Françoise Barré-Sinoussi a été à la tête de l'International AIDS Society, et est à ce jour membre de l'Académie des sciences, présidente du Sidaction et a reçu la Grand-Croix de la Légion d'honneur. TEMPLE GRANDIN Née en 1947 à Boston, Mary Temple Grandin présente ce que les médecins identifient comme des lésions cérébrales alors qu'elle n'avait que trois ans. En réalité, Mary est atteinte d'autisme, maladie méconnue à l'époque. Malgré ses difficultés d'adaptation sociale, elle fait de longues études et obtient une maîtrise à l'université d'état d'Arizona en 1975 qu'elle consacre à l'étude du comportement des bovins en élevage, sujet pionnier puisqu'il n'existait alors pas de formation en zootechnie. En 1989, après la démocratisation de cette discipline, elle obtient son doctorat et devient une professeure renommée. Parallèlement, elle crée sa société de conseil et d'ingénierie dans l'équipement d'élevage de bétail. L'étude de leur mode de réflexion par image lui permet d’œuvrer pour le bien-être animal, favorisant la compréhension et la gestion de leur nervosité. Alors qu'en 1980, il n'existait aucune étude ou dispositif consacré au bien-être animal, au moins la moitié des abattoirs nord-américains étaient équipés des inventions de Temple Grandin en 2012. Elle a par ailleurs inventé la machine à câlin, un appareil destiné à calmer les personnes hypersensibles. Temple Grandin milite quotidiennement pour une meilleure intégration des personnes autistes et souhaite la reconnaissance de l'autisme comme handicap plutôt que maladie mentale. Temple Grandin travaille également à l'ouverture des filières scientifiques aux personnes autistes. Illustratrice parisienne, Marie Crayon s'intéresse à la déconstruction des normes et injonctions que la société impose aux femmes. Elle tend à représenter la diversité des corps, et mettre en lumière les femmes et leurs combats quotidiens à travers un univers haut en couleurs. Retrouvez Marie Crayon sur son site et sur Instagram.
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BEAUTÉ - À la cinquantaine, une femme se sent parfois invisible. Personne ne la regarde quand elle entre dans un café ou un restaurant. Les gens qu’elle croise dans la rue semblent ne pas la voir, comme si elle n’existait pas. Si vous lui posez la question, elle vous dira que ces marques d’inattention lui ont fait perdre de l’assurance, parce qu’elles suggèrent que ses meilleures années sont derrière elle. Nous vivons dans une société où la jeunesse est souvent synonyme de beauté et d’énergie. Au Huffington Post, nous souhaitons prendre le contre-pied de cette façon de voir les choses. Nous pensons que les femmes peuvent être intelligentes et audacieuses, belles et sûres d’elles – et continuer à influer sur le monde qui les entoure – à 50, 75 ou même 100 ans! Dans cette optique, Huff/Post50 a pris en photo 11 femmes très sexy, âgées de 48 à 67 ans. Des célibataires, des femmes mariées, des grand-mères, des femmes qui se sont remises d’un cancer. Ce qu’elles ont en commun, c’est qu’elles n’ont pas la langue dans leur poche. Elles se sentent mieux aujourd’hui qu’elles ne l’ont jamais été. Nous leur avons demandé de mettre une tenue dans laquelle elles se sentaient sexy, et de nous dire ce que ce mot évoque pour elles aujourd’hui, par rapport à ce qu’il représentait quand elles avaient la vingtaine. Le résultat – garanti sans retouches – est tout simplement éblouissant. Sheryl Roberts, 48 ans – "Je sais que je suis idéalement imparfaite, avec mes défauts et mes qualités." Damon Dahlen/Huffington Post "Quand j’avais la vingtaine, j’étais mannequin. Je n’avais pas confiance en moi, et je suivais l’avis des autres. Je n’avais pas d’identité propre. Je portais ce qui était à la mode, j’imitais les autres filles de mon âge, et je faisais tout pour que l’on m’apprécie. Je n’avais aucune idée de ce dont j’étais capable, ou de ma sexualité. La plus grande différence entre celle que j’étais à 20 ans et celle que je suis aujourd’hui, à 48 ans, c’est que je me fiche totalement de ce que les gens pensent de moi. L’image que les autres ont de moi ne correspond pas à ma réalité. Je n’ai pas envie de me fondre dans la masse. C’est d’ailleurs pour cela que je vends des objets vintage avec ma société, IndigoStyle Vintage, qui met l’accent sur l’expression d’un point de vue personnel. Je suis sexy parce que j’ai de l’assurance, je souris et je m’accepte telle que je suis. Je n’ai pas peur de découvrir de nouvelles choses en moi, et je sais que je suis idéalement imparfaite, avec mes défauts et mes qualités." Anne Rosenberg, 59 ans – "Je suis très attirée, et inspirée, par mon côté sexy." Damon Dahlen/Huffington Post "Etant donné que je suis une enfant des années 1960, j’aurais peut-être dû être un peu plus, disons, hippie ... mais personne ne m’a prévenue! J’étais concentrée sur mes études et, le reste du temps, sur l’équitation et les travaux de la ferme. Ma tenue standard, c’était une chemise à carreaux, une salopette et des bottes. J’avais le sentiment que la sexualité ne me concernait pas. J’étais 'désexualisée' et je refusais de laisser mon désir s’exprimer. Aujourd’hui, je rigole doucement en pensant qu’à vingt ans, quand ma sexualité n’aurait posé de problème à personne, j’étais coincée. Et maintenant que la société est mal à l’aise avec la sexualité des femmes mures, je m’épanouis! Je suis très attirée, et inspirée, par mon côté sexy. C’est extraordinaire." Mary Ann Holand, 58 ans – "Personne ne décide à ma place de ce qui est sexy ou non chez moi." Damon Dahlen/Huffington Post "Je pense que les femmes n’apprécient vraiment leur beauté et leur sensualité qu’à l’âge mûr. A la cinquantaine, je me sens bien plus sexy que quand j’avais 20 ans. A l’époque, je me comparais aux autres et aux critères dictés par les magazines de mode et de beauté. C’était très lourd à porter! Avec l’âge, on se sent plus sure de soi, et on a compris que l’organe le plus sexy de notre corps, c’est le cerveau! Personne ne décide à ma place de ce qui est sexy ou non chez moi. Le cheminement que j’ai suivi pour devenir celle que je suis aujourd’hui a modifié ma perception. Je suis une épouse, une mère, une grand-mère, et j’ai survécu à un cancer avec mastectomie. J’ai la chance d’avoir conscience de ma sensualité à la cinquantaine, et je me réjouis des décennies à venir! Je suis enfin libre d’être moi-même!!!" Shannon Bradley-Colleary, 50 ans – "Je dis oui’ plus facilement." Damon Dahlen/Huffington Post "Je me suis rendu compte que, depuis que j’ai passé le cap de la cinquantaine, je dis oui’ plus facilement. Du coup, je me sens belle, pleine de vie et sexy. 'Tu veux faire du bénévolat dans un camp de réfugiés syriens à Lesbos?' Oui. 'Tu veux prendre un cours d’initiation au pole dancing?' Oui. 'Tu veux un rendez-vous arrangé avec ton mari où vous faites semblant de vous rencontrer pour la première fois?' Dites-moi où je dois signer! A la vingtaine, j’avais peur de ne pas être assez intelligente, sexy et de ne pas être suffisamment bien foutue pour dire 'oui' à tout ce que je voulais essayer je me disais aussi que je pourrais faire mieux niveau orgasmes, parce que je me donnais autour de 11/20 de ce côté-là . A 50 ans, je n’ai plus de temps à perdre avec ces bêtises. Je prends un peu les choses comme elles viennent. 'Tu veux bien te regarder dans le miroir et aimer ce que tu y vois aujourd’hui?’ Oui. Et merci." Barbara Rabin, 67 ans – "Surmonter ces épreuves m’a rendu beaucoup plus forte. Une force qui me rend plus sexy." Damon Dahlen/Huffington Post "Être sexy, c’est avoir confiance en soi. Etre bien dans sa peau. Se regarder dans la glace et aimer ce que l’on voit. Quelqu’un m’a dit un jour que les cheveux longs, c’était pour les femmes jeunes. Et la plupart des femmes de mon âge ont les cheveux courts. Moi, j’aime quand ils sont longs et détachés. Je trouve ça sexy. L’important, c’est de se dire Je m’aime comme cela, et ça me va très bien.' Quand j’avais la vingtaine, je ne pensais qu’à ma carrière. Entretemps, j’ai perdu mon mari, et j’ai eu un cancer. J’ai surmonté ces épreuves, et ça m’a rendu beaucoup plus forte. Une force qui me rend plus sexy." Pamela Madsen, 52 ans – "La sexualité est aujourd’hui une alliée." Damon Dahlen/Huffington Post "Quand j’avais la vingtaine, je voulais être invisible sur le plan sexuel parce que je me méfiais de la relation que j’entretenais avec mon corps. J’avais peur d’être vue. Aujourd’hui, passé le cap de la cinquantaine, je vous défie de ne pas me regarder! Je n’ai plus peur de mon côté sexy, parce que ce mot n’est plus synonyme d’inquiétude mais d’émancipation et de plaisir! Je sais que je sais faire le tri entre ce qui est bon pour moi et ce qui ne l’est pas. Ca m’a peut-être pris quelques dizaines d’années mais la sexualité est aujourd’hui une alliée, et j’aime la retrouver." Sandra LaMorgese, 59 ans – " Je me concentre désormais sur ce qui me rend heureuse." Damon Dahlen/Huffington Post "Quand j’avais vingt ans, la sexualité était avant tout une question d’image. Je savais nettement ce qu’une femme sexy devait faire, dire et ressentir, à quoi elle devait ressembler, et je dépensais une énergie folle à tenter de donner cette impression aux autres. A présent que j’ai la cinquantaine, mon point de vue est radicalement différent je n’éprouve plus le besoin d’être appréciée, sexy, désirable et libre parce que je sais que je le suis déjà . Je change régulièrement de partenaires romantiques et sexuels. C’est la vie. Ce qui ne change pas, en revanche, c’est celle que je suis. Ce qui veut dire que c’est à moi de trouver une manière de vivre ma sexualité, mon identité et mon amour-propre. Quand j’ai compris ça, je me suis débarrassée d’une grande partie de l’angoisse que je ressentais vis-à -vis de la sexualité parce que je n’avais plus à me préoccuper de toutes les choses sur lesquelles je n’avais aucune influence. Je me concentre désormais sur ce qui me rend heureuse, entière et affectueuse, et quand je rencontre des personnes attirées par ces qualités, nous vivons des choses très agréables et enrichissantes." April Johnson, 58 ans – "Aujourd’hui, [être sexy] est avant tout une manière d’être." Damon Dahlen/Huffington Post "Pour moi, la beauté est synonyme de séduction. Et qu’est-ce qui nous rend séduisant? La gentillesse, l’amour, la générosité, l’empathie, grâce auxquelles notre beauté intérieure se reflète à l’extérieur. Quand j’avais vingt ans, je pensais qu’être sexy, c’était s’habiller d’une certaine manière pour séduire le sexe opposé et tenter de savoir ce qu’ils trouvaient sexy. Aujourd’hui, c’est avant tout une manière d’être. Les vêtements que je porte ne me définissent pas. C’est même l’inverse. Je me sens bien dans ma peau. Le fait de me sentir sexy me plaît et me rend heureuse. Ma relation aux autres s’en ressent. C’est une belle façon d’emplir le monde de bonheur!" Robin Hoffman, 50 ans – "Le corps est quelque chose de magnifique, mais la beauté intérieure l’est davantage." Damon Dahlen/Huffington Post "Pour moi, la différence entre la sensualité à 21 ans et à 50 ans, c’est le chemin parcouru. Indépendamment du fait que ce ne sont plus les jeans délavés qui me font un beau cul mais les pantalons de yoga, je suis encore en train de prendre conscience que mon bien-être ne dépend plus des hommes, comme ceux qui me faisaient craquer quand j’étais à la fac. Bien entendu, il m’arrive encore de l’oublier, mais j’ai désormais une ligne que je m’efforce de suivre. Elle peut émaner de la force et de l’amour ou, à l’inverse, accentuer chaque bourrelet, chaque critique. Etre sexy à 50 ans, c’est se débarrasser de sa carapace pour permettre à la lumière que nous avons en nous d’éclairer le monde qui nous entoure. C’est s’attacher à la beauté de l’esprit plutôt qu’à la rondeur des culs et la grosseur des seins. Le corps est quelque chose de magnifique, mais la beauté intérieure l’est davantage." Felicia Gomes-Gregory, 50 ans – "[Être sexy] est avant tout une manière de prendre soin de ma beauté intérieure." Damon Dahlen/Huffington Post "Quand j’avais 25 ans, j’apprenais à être sexy. Mes idées étaient dictées par des facteurs extérieures magazines, livres, télé, etc., par les hommes et, surtout, par le 'village des femmes' qui m’ont élevée, ma mère notamment. On m’a toujours appris qu’il n’y avait pas besoin de se déshabiller pour être 'sexy'. Aujourd’hui que j’ai 50 ans, c’est avant tout une manière de prendre soin de ma beauté intérieure, et aussi extérieure. Quand une femme s’est émancipée spirituellement et physiquement, qu’elle a de l’assurance, qu’elle sait vraiment ce qu’elle veut et qu’elle aime les autres, elle est naturellement sexy! Pour moi, la décennie qui s’annonce est une nouvelle étape de ma vie, où les quatre choses les plus importantes sont la vie, l’amour, la danse et la foi, bien au-delà de la soixantaine!" Constance Boardman, 57 ans – "Se sentir sexy à mon âge est beaucoup moins lié au physique." Damon Dahlen/Huffington Post "Se sentir sexy à mon âge est beaucoup moins lié au physique. Toutes ces choses – liées à l’apparence – qui nous préoccupaient quand nous étions plus jeunes sont vraiment absurdes. Au cap de la cinquantaine, j’ai eu du mal à me sentir sexy pendant quelque temps. Les changements de votre corps se font soudain sentir. Mais je sais aujourd’hui que le sexe est quelque chose de très agréable, et qu’il est inutile de se soucier de tous ses petits détails physiques. J’ai mis un moment à me faire à l’idée que mon corps ne sera plus jamais comme avant. Mais ça n’a plus beaucoup d’importance à mes yeux." Damon Dahlen/Huffington Post Cet article, publié à l’origine sur le Huffington Post américain, a été traduit par Bamiyan Shiff pour Fast for Word.
Unhomme et une femme est un film français de Claude Lelouch, sorti en 1966. Claude Lelouch en est à la fois le réalisateur, le coscénariste, le producteur, et le directeur de la photographie.
Comment une affiche diffusée pendant la guerre, représentant une ouvrière anonyme, a-t-elle pu devenir un symbole mondial de l’émancipation féminine ? 1941. Les Etats-Unis entrent en guerre aux côtés de l’Angleterre et de la Russie. Le gouvernement américain doit planifier son économie de guerre il faut fabriquer rapidement et en grande quantité des armes, des navires, des avions. Mais les usines fonctionnent au ralenti depuis que les hommes ont été enrôlés dans l’armée. Comment inciter alors les femmes à prendre la relève ? Le bureau d’information de guerre décide de lancer une campagne de publicité » destinée à convaincre les femmes de soutenir l’effort de guerre. Pour l’incarner Rosie la Riveteuse, un personnage créé de toutes pièces, neutre de toutes références et de repères. Une première apparition en chanson C’est d’abord en musique que Rosie fait son apparition en 1942. Elle est dans la chaîne de montage/Elle entre dans l’histoire/Travaille pour la victoire/Rosie la Riveteuse », chantent en chœur les Four Vagabonds. Mais quelques notes ne suffisent pas à inciter les femmes à se rendre à l’usine. Il va falloir casser les représentations pour que celles-ci acceptent d’endosser des rôles jusqu’alors considérés comme masculins. L’image va être un formidable moyen pour y parvenir, miroir dans lequel la spectatrice peut se projeter. Rosie la Riveteuse, symbole de l’effort de guerre américain C’est une peinture qui va véritablement lancer la carrière de Rosie la Riveteuse. Le 29 mai 1943, le tableau de Norman Rockwell fait la Une du Saturday Evening Post. On y découvre celle qui va incarner 6 millions d’Américaines qui vont prendre le chemin des usines d’armement pendant la Seconde Guerre mondiale. En bleu de chauffe, manches retroussées sur des bras très musclés, des lunettes de protection qui ne quittent pas son front et un pistolet à riveter posé sur ses genoux, Rosie a tous les attributs d’une ouvrière. Son pied écrase Mein Kampf, symbolisant le désaccord des Etats-Unis avec l’Allemagne nazie. Le sandwich dans la main gauche indique qu’elle est probablement en train de prendre sa pause déjeuner, attribuant ainsi une dimension humaine à l’usine. Les traits masculins qui se dégagent de Rosie ont souvent été attribués au souvenir du tableau de Michel-Ange, Le Prophète Isaïe. Mais la Rosie de Norman Rockwell a ceci de particulier qu’elle va au-delà Rosie ne prend pas la place de l’homme, elle est à la fois la femme et l’homme de la maison. D’ailleurs, lorsqu’elles ne travaillent pas dans les usines, les femmes sont encouragées à poursuivre l’effort de guerre dans leur foyer. Une grande partie de la production alimentaire étant réquisitionnée pour l’armée, les foyers américains voient leur alimentation rationnée. Les femmes doivent trouver des moyens de varier l’alimentation malgré les pénuries Eleanor Roosevelt montre l’exemple en plantant un potager à la Maison Blanche, où elle produit ses propres fruits et légumes. Derrière la peinture de Norman Rockwell, il y avait une femme Mary Doyle Keefe, opératrice téléphonique et non pas ouvrière comme nous aurions pu l’imaginer. Elle servit de modèle au personnage de Rosie la Riveteuse qui devint une icône. L’autre version de Rosie la Riveteuse We can do it! La représentation la plus connue aujourd’hui de Rosie est celle de J. Howard Miller. En 1942, J. Howard Miller, dessinateur, est embauché par le Comité de coordination de production de guerre de la société Westinghouse. L’objectif, cette fois-ci créer une série d’affiches destinées à promouvoir l’effort de guerre. Parmi elles, la célèbre We can do it !». Pour créer cette affiche, il s’inspire d’une photo de United Press International UPI immortalisant une authentique ouvrière d’une chaîne de production du Michigan Géraldine Doyle. Résultat sur fond jaune, une femme, bandeau rouge à pois blancs noué sur la tête, manche relevée, qui clame dans une bulle We can do it ! » On peut le faire ! ». Affichée uniquement dans les usines de Pennsylvanie et du Midwest et ce pendant seulement deux semaines, en février 1943, cette affiche n’a pas remporté un vif succès. Ce n’est que dans les années 1970-1980 que l’affiche de J. Howard Miller est à son tour baptisée Rosie la Riveteuse . Avec un message écrit direct et incitatif et un graphisme plus épuré que la peinture de Norman Rockwell, cette affiche est devenue le symbole de l’émancipation féminine. Une icône pop Depuis, associations féministes, personnalités… ont mis à l’honneur Rosie. La chanteuse Beyoncé a publié en 2014 une photo-remake de l’œuvre de Miller sur son compte Instagram. Les chanteuses Pink et Christina Aguilera ont également rendu hommage à Rosie dans leurs clips respectifs Raise Your Glass et Candyman. La Rosie d’aujourd’hui transcende son histoire et le canon de l’imagerie de guerre », explique Shreyas R. Khrishnan. Elle s’inscrit dans celle de l’empowerment, de l’émancipation. Rosie, c’est un appel à l’action, un avatar de la réussite en dépit des probabilités, une nouvelle aspiration. » L’affiche, qui demeure très populaire, est l’une des dix images les plus demandées à la National Archives and Records Administration. A lire Shreyas R. Khrishnan, Devenir Rosie. Rosie la Riveteuse et la performativité du genre, Editions Cambourakis, 2017.
Aujourdhui, actrice accomplie et émérite, Emma Watson mène un nouveau combat, celui de l’égalité homme-femme et lutte contre les violences infligées aux femmes. Une raison de plus (s
Améliorer l’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes serait bon pour l’entreprise. Si vous voulez que votre employeur favorise l’égalité hommes-femmes au travail, voici 5 arguments à lui donner. A lire sur Aujourd’hui en France, l’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes est encore loin d’être atteinte. D’après une étude de grande ampleur menée par l’INSEE en 2010, les femmes ne représentent qu’à peine plus de 35% des cadres en France. Pire, elles seraient payées 18% de moins pour une heure de travail au même poste. Même si on ne devrait pas avoir besoin d’arguments pour vouloir plus de diversité et d’égalité, en entreprise, il est parfois difficile de faire avancer les choses dans ce domaine. Voici donc 5 arguments imparables pour convaincre votre employeur ou votre DRH de rechercher plus d’égalité hommes-femmes au travail. 1 – Améliorer la performance de l’organisation et le bien être au travail Une étude menée par le Crédit Suisse montre une corrélation entre un environnement de travail où la parité est respectée et de meilleures performances organisationnelles. La parité hommes-femmes au travail mais aussi la diversité en général permettrait d’avoir une vision plus holiste et plus globale des enjeux auxquels l’entreprise fait face, et donc de trouver des solutions plus efficaces pour répondre à ces problématiques. Une autre étude suggère que les entreprises ayant plus de 10 % de femmes parmi leurs dirigeants ont des revenus 41% plus importants en moyenne que celles qui n’en ont que 5%. La qualité de vie au travail est également réputée pour être meilleure lorsque plus de femmes font partie du management d’une entreprise. D’après une étude menée aux Etats-Unis sur le management d’entreprise, en moyenne, les salariés se disent plus enthousiastes et engagés au travail lorsqu’une femme est leur manager direct, et ce constat s’applique que les salariés soient des hommes ou des femmes. Globalement, les femmes seraient de meilleurs managers. Elles auraient tendance à plus encourager leurs collègues au travail et à mieux voir leurs progrès. Les salariés managés par des femmes déclareraient 1,26 fois plus que ceux managés par des hommes que leur développement est encouragé dans l’entreprise. Cela contribuerait donc à créer un environnement d’émulation et de motivation. Egalite-hommes-femmes-management 2 – Mieux comprendre et cibler les consommateurs Aujourd’hui encore, les entreprises ont tendance à être très masculines à tous les niveaux dirigeants, responsables marketing, concepteurs… Or aujourd’hui ce sont les femmes qui contrôlent les achats et la consommation des foyers. Dans les pays développés, entre 70 et 85% des achats quotidiens sont faits par les femmes. 68% des achats de voitures sont décidés par les femmes, 93% des achats agro-alimentaires, ou encore 92% des vacances et des loisirs. Or, 91% des femmes considèrent que le marketing des entreprises et la façon dont les produits sont conçus ne sont pas adaptés à leurs besoins. Pour mieux cibler les besoins de ces consommatrices, il est nécessaire de sortir d’un schéma trop masculin de l’entreprise. Inclure des femmes, c’est potentiellement mieux comprendre les besoins des consommateurs, avoir une vision plus globale, se créer de nouvelles parts de marchés. 3 – Attirer et garder les talents 47% des dirigeants estiment qu’améliorer l’égalité hommes-femmes est aussi un moyen d’attirer les top talents féminins. En effet, près de 60% des diplômés de master sont des femmes. Celles-ci sont majoritaires dans presque tous les cursus elles représentent 65% des diplômés en droit, ou sciences politiques, 62% des médecins diplômés, 60% des diplômés en économie, gestion ou encore sciences naturelles. Améliorer l’égalité hommes-femmes c’est donc aussi s’assurer de recruter ces jeunes talents. De plus, la génération Y est particulièrement sensible à ces problématiques, et les jeunes salariés accordent de plus en plus d’importance à ce critère dans leur recherche d’emploi. Mais ce n’est pas tout une étude menée par David Kaplan pour la revue Human Resource Management montre qu’un environnement de travail plus juste où la diversité est respectée encourage les employés à conserver leurs postes. Plus d’égalité hommes-femmes, c’est donc moins de turnover dans l’entreprise. Generation-Y-travail-RSE 4 – Améliorer son image et sa réputation corporate Plus d’égalité hommes-femmes dans l’entreprise, c’est aussi une question d’image. L’égalité de genre est de plus en plus souvent identifiée comme un facteur de la réputation corporate des marques. Par ailleurs, on sait que les plus jeunes consommateurs attachent de plus en plus d’importance aux enjeux de la diversité. Une marque qui a une politique volontariste en matière de diversité au travail tendra à avoir une meilleure image et à attirer ces parts de marché. Sachant qu’aujourd’hui la réputation et l’éthique d’une marque sont plus importantes que le prix des produits dans les critères d’achats des consommateurs, c’est un argument important. 5 – Diminuer le risque réglementaire Améliorer l’égalité hommes-femmes dans l’entreprise, c’est aussi une question réglementaire l’an dernier, près de 1 500 entreprises françaises ont été rappelées à l’ordre pour ne pas avoir mis en place de plan d’amélioration de la diversité au travail et 47 ont été sanctionnées juridiquement ou financièrement. Une usine Sagem a récemment été condamnée à verser 165 000 euros à une salariée qui était moins bien payée que ses homologues masculins. Face à une opinion publique de plus en plus demandeuse en termes d’égalité hommes-femmes, le contexte réglementaire pourrait encore se durcir à ce niveau dans les années à venir. Raison de plus pour toutes les entreprises de prendre les devants et de développer la parité aussi bien en ce qui concerne les postes que les salaires.
Envente sur 1stDibs - Jean-Louis (Jean-Louis Trintignant) est un veuf devenu père célibataire après le suicide de sa femme, et Anne (Anouk Aimée) est une veuve et mère célibataire
Release date 31 May 1966 By Claude Lelouch with Jean-Louis Trintignant, Anouk Aimée, Pierre Barouh Une script-girl inconsolable depuis la mort de son mari cascadeur, rencontre à Deauville un coureur automobile dont la femme s'est suicidée par désespoir. Ils s'aiment, se repoussent, se retrouvent et s'aiment encore Infos, trailers & details Un homme et une femmeUne script-girl inconsolable depuis la mort de son mari cascadeur, rencontre à Deauville un coureur automobile dont la femme s'est suicidée par désespoir. Ils s'aiment, se repoussent, se retrouvent et s'aiment encore Directed by Claude Lelouch With Jean-Louis Trintignant, Anouk Aimée, Pierre BarouhNationality FranceUser ratings7want to see it5Total reviewsRate this movieUn homme et une femmeFind sessions Quels sont les nouveaux films à l'affiche au cinéma ? Retrouver toutes es nouveauté de la semaine depuis la rubrique "Tous les films à l'affiche", un bandeau "Nouveau" s'affiche sur les affiches des sorties de la semaine. Read more Comment savoir si un film est disponible IMAX, 4DX et Dolby dans mon cinéma Pathé ou Gaumont ? Pour connaitre la liste des films disponible dns votre cinéma pour chacune des technologie disponible, rendez vous sur la page dédiée à l'IMAX, 4DX et Dolby Cinema Read more Pourquoi réserver en ligne ? En réservant gratuitement un billet sur notre site ou application mobile, vous avez la garantie - de réserver votre fauteuil préféré pour la séance de votre choix - d'accéder rapidement à votre séance en vous rendant directement au point de contrôle muni de votre e-billet et évitez ainsi les files d'attente. - de pouvoir annuler gratuitement jusqu'à 15 minutes avant le début de la séance Read more
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affiche un homme et une femme